Sommaire
AVANT PROPOS par Nadia HASSINE
SUJET(S) ET INSTITUTION(S)DE FORMATION EN TRAVAIL SOCIAL par Patricia VALLET
L’ÉCRITURE, TERRE D’ASILE par Josette VERHENNEMEN
HISTOIRE DE VIE ET HISTOIRE DE FORMATION Par Monique BAUDOIN
REGARD SUR LE SUJET par Thérèse TENNERONI
DES GROUPES DE PAROLE A L’HOPITAL par Claude de la Genardière, psychanalyste
DE LA SECURITE DANS LE TRAVAIL A LA PREVENTION DES RISQUES par Blaise OLLIVIER
DE L’OBSERVATION D’UN « PETIT RIEN » Par Marie-Josée BERGER
L’INSERTION : COMMENT DONNER DES RÉPONSES SANS POSER LES QUESTIONS Par Valérie Osmont
Edito
Avec le présent numéro portant sur sujets et institutions et après 15 années d’existence, la revue Paroles et Pratiques Sociales arrête ses activités.
Bien qu’elle ait réussi à s’adapter aux exigences de l’environnement social et malgré l’évolution considérable dont elle a fait preuve depuis sa création, en particulier au niveau rédaction¬nel, les problèmes financiers liés à sa survie l’obligent aujourd’hui à mettre un point d’arrêt à sa formule actuelle.
Différentes étapes ont en effet constitué le cheminement de PEPS, d’une écriture narrative sur certains aspects des prati¬ques sociales à une politique rédactionnelle fondée sur une exigence scientifique.
La démarche de PEPS, caractérisée par son indépendance et par l’animation d’une équipe, bénévole mais toujours présente sur le terrain des questions sociales, reste et restera un acquis pour des acteurs qui ne veulent pas rester des observateurs silencieux face aux complexités des situations sociales.
Quant aux abonnés qui nous ont fait confiance, ceux dont l’abonnement se poursuit en 1999 pourront solliciter deux an-ciens numéros de la revue.
Dans le cas où une nouvelle équipe prendrait place, tous les
lecteurs seront bien évidemment informés de son projet.
Les parcours sont faits de moments clef et d’étapes distinctes, l’essentiel est qu’ils soient porteurs de sens en terme de direc¬tion mais aussi en terme de signification. PEPS l’a été long¬temps, à sa façon. Il est temps aujourd’hui de laisser la place à de nouvelles formes d’expression.