Les « traceurs » appartiennent à la tribu des arpenteurs, trois d’entre eux nous ouvrent quelques pentes urbaines inexplorées à travers la technique et la philosophie du « parkour » : la liberté d’un mouvement sans intention, habiter autrement, le geste juste, l’espace du jeu et le jeu de l’espace, l’architecture fluide de la ville.
« Vivre c’est passer d’un espace à un autre, en essayant le plus possible de ne pas se cogner » (Georges Perec, Espèces d’espaces, 1974)
Article co-écrit Hugues Bazin et Naïm Bornaz, avec la participation de Mohamed Larbes et Wesley Marcheron
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