De la férocité de Cerbère.

N est il pas la qui gronde devant la grande porte ?

Se nourrissant de cohorte d’hommes damnés,
Derrière lui il n y est que des ombres tremblantes , exsangues de supplices et de peau calcinées .
Il se dresse de superbe et de haine cupide à garder l’entrée infernale ,
Face aux malheureuses âmes bien trop résignées,
il n est que le grondement d’un rugissement guttural.

Grégory Seguin .

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