20 octobre 2007

Jeunesse et éducation populaire (Paris)

Par Hugues Bazin

Débat sur Jeunesse et éducation populaire

17e  Salon de la revue
(Programme de l’ensemble des manifestations : http://www.entrevues.org/actualites/salon2007_programme.php)

Samedi 20 octobre
à  l’Espace d’animation des Blancs-Manteaux,
48, rue Vieille-du-Temple, 75004 Paris
Salle Jean-Pierre Vernant à partir de 18h30

La revue Agora, débats, jeunesse propose deux réflexions successives autour de ses numéros récents (invitation en
fichier joint) :

” Jeunes générations en Europe : regards croisés est/ouest “

(No 42 Agora sur ” Politiques publiques de jeunesse en Europe ” : http://www.injep.fr/Politiques-publiques-de-jeunesse.html)
Les jeunes Européens sont travaillés par des stratifications d’expériences sociales et historiques différentes : poids du passé communiste, des empreintes religieuses ou des modèles familiaux. Ces jeunes générations sont aussi affectées par des politiques publiques différenciées articulant différemment compétition économique, solidarités familiales et protection sociale, telles sont les questions abordées par les coordinateurs du dossier :
Pierre-Marie Chauvin, (sociologue, LAPSAC/Université Victor-Segalen Bordeaux 2), Elisabeth Gestatt-Anstett (Docteur en anthropologie sociale, EHESS), Cécile Van de Velde (maître de conférences en sociologie à l’université de Lille 3).

” Les enfants non reconnus de l’éducation populaire “

(No 44  Agora sur ” Éducation populaire : une actualité en question ” : http://www.injep.fr/Education-populaire-une-actualite.html)
Intervention de Hugues Bazin, chercheur indépendant, avec Jean-Claude Richez (responsable de l’unité d’études de recherche et de formation à l’Institut National de la Jeunesse et de l’Education populaire).
Ce point de vue cherche à poser les termes d’un débat qui n’a jamais vraiment existé entre une nouvelle génération d’acteurs populaires fortement engagés dans leur environnement socioculturel et l’éducation populaire historiquement instituée à travers ses rassemblements, ses organisations et ses structures. Il ne s’agit pas simplement pour cette génération de participer à la discussion mais de pouvoir peser réellement sur l’avenir d’un mouvement dans une société en pleine mutation. Quelles sont alors les conditions nécessaires pour renouer un débat indispensable au sein des milieux culturels associatifs et militants.