No 12 – Sommaire/Edito

Syndicats, associations : quelles réponses face aux mutations du social ?

Sommaire

L’INSERTION DOUCE

  • Les stages d’insertion des 16-18 ans : plus un pallia¬tif qu’une alternative à la crise institutionnelle, économique et sociale.

ÇA M’ÉNERVE

  • QUEL AVENIR POUR LA DÉSECTORISATION ?
  • La redéfinition du rôle de la circonscription structure le travail social autour du concept d’équipe

MILITANTS OU FONCTIONNAIRES ?

  • Comment notre identité professionnelle peut-elle trouver sa place entre un fonctionnariat et une démarche militante ?

DOSSIER

  • SYNDICATS, ASSOCIATIONS : QUELLES RÉPONSES FACE AUX MUTATIONS DU SOCIAL ? La C.G.T., la C.F.D.T., la CF.P.S., l’A.N.P.A.S.E., l’A.N.D.E.S.I., l’A.1V.E.J.I., l’A.N.E.D., ont répondu à nos questions.
  • ASSOCIATIONS, ÉLUS AU COUDE A COUDE Des élus et des associations se réunissent dans le cadre des Comités d’Initiative et de Consultation d’Arrondissement : une initiative que chacun peut saisir à son niveau.
  • CONTRIBUTION AU DÉBAT DE L’APRES-CONVERGENCE
    Quel est l’avenir du mouvement « Convergence 84 pour l’égalité .» ou la recherche d’une nouvelle ci¬toyenneté.
  • PAS-DE-CALAIS, UNE. ASSISTANTE SOCIALE ET UNE PUÉRICULTRICE CONDAMNÉES Le procès de travailleurs sociaux dans le Nord révèle qu’une• vision rétrograde des pratiques sociales de terrain existe encore

INFOS

ODEURS D’ENCRES

  • La revue de la presse, de l’édition et des revues.

ÉCHO DES LUTTES

FORUM RASSEMBLEMENT DES TRAVAILLEURS SOCIAUX ACTEURS DE L’HISTOIRE A VENIR DU SOCIAL

  • Comment agir au sein des institutions loCales, dépar-tementales et nationales•en regroupant nos expérien¬ces et en valorisant notre spécificité de travailleurs sociaux

Edito

PEPS, UN OUTIL DE FORMATION

Nous avons maintes fois expliqué ce qu’était PEPS et ses objectifs. Mais ce que vous savez peut-être moins, ce sont les retombées d’une telle expérience.
En effet, PEPS constitue une initiative relativement unique dans le champ social dans la mesure où des Travailleurs Sociaux, professionnels et en formation ont monté et font vivre en dehors de leurs activités salariées une véritable petite entreprise qui conçoit son produit, le réalise et le vend.
PEPS s’autofinance totalement et distribue 12 000 F de rémunération tous les deux mois à une composphériste, un maquettiste, des illustrateurs, une imprimerie et un atelier de routage.
PEPS nous sert dans la période actuelle d’outil professionnel pour bousculer les habitudes et les pratiques du social. Mais, retombée secondaire de cette expérience, en créant notre entreprise de communication nous faisons aussi l’apprentis-sage d’un savoir-faire et de techniques qui vont devenir importantes pour la pratique de nos professions.
C’est ainsi que, avec les limites du bénévolat, nous apprenons à concevoir et à réaliser un produit journalistique, à gérer une entreprise et à trouver des financements, à prospecter des marchés, à promouvoir et à vendre notre production… autant de techniques transposables dans l’élaboration de projets et leur négociation avec les élus, le montage d’associations et de petites entreprises intermédiaires, le développement de la communication entre les TS et les populations…
PEPS joue ainsi le rôle d’une véritable formation intellectuelle et pratique aux techniques modernes de la micro économie et de la communication appliquée au travail social sans pour autant abandonner nos techniques traditionnelles, tou¬jours nécessaires.
Les TS sensibles à cette démarche et désireux d’apprendre en collaborant avec nous sont les bienvenus à PEPS.

Philippe MONDOLFO

No 11- Sommaire / Edito

Les élus face au social

Sommaire

REGARD PROFESSIONNEL A L’ÉTRANGER ET OUTRE-MER

  • Ile de La Réunion : les cocotiers en devenir
  • Travail social en Inde et en. France, quelle coopération .

PEINTURE ET TOXICOMANIE

  • Ce n’est pas un « TUC » mais un atelier anti-défonce

JE PLAIDE POUR QU’ON ME GARDE A VUE

  • Madame la toxicomane… Avez-vous dit secret professionnel

EN FINIR AVEC LE TAYLORISME

  • Une rupture sociale pour des entreprises du 3ème type.

DOSSIER

Les élus face au social

  • Comment les « politiques » imaginent-ils la décentralisation du social et leur collaboration avec les travailleurs sociaux (et réciproquement…) ?

OU VA LE MUNICIPAL ?

  • Connaissez-vous vos élus locaux ?

DREUX : CONCURRENTS OU PARTENAIRES

  • Réhabilitation d’un quartier. Méfiance ? Médisance ? Méconnaissance ?

TS : UN COMBAT D’ARRIERE-GARDE FACE AUX ÉLUS

  • Interview de Madame Vadot, Maire adjointe, Conseiller Général et
  • ancienne Assistante sociale.

POLITIQUE SOCIALE LOCALE

  • On est tous dans le brouillard

CHRONIQUES

BONNE « NOUVELLE »

  • Maison verte

ÇA M’ÉNERVE

  • La rubrique de l’humeur

Edito

À l’aube de 1985 alors que nous mettons sous presse peps s’affûte à couvrir une quatrième année. Mais pour quel pari ? Se brancher plus encore :

  • sur le social qui bouge, sur les paroles et les écrits
  • les réflexions de ceux qui le font dans les champs d’intervention que nous voulons plus diversifier
  • les initiatives encore cachées
  • sur le social et ses conjugaisons avec le politique, l’économique, sociologique…
  • sur le social et ses thèmes brûlants : la décentralisation, la vie associative…
  • sur le social dans sa quotidienneté aussi : rapports avec les usagers, conditions de travail, formation
  • sur le social, en fait que vous pratiquez comme nous et que vous nous « contez » au travers de ces pages.

Déjà, pour cette année, des projets se dessinent auxquels vous pouvez apporter votre pierre : écrite, parlée, ou croquée.

Des dossiers :

  • travailleurs sociaux en psychiatrie
  • les quatre saisons du travail social (du spécial troisième âge au point chaud pour les jeunes en été, des expulsions au Noël organisé avant et pendant l’hiver)
  • des projets donc, de réflexion bien sûre, mais aussi d’action et de propositions qui émergent lors du rassemblement prévu dans les premiers mois de cette année.

Nous attendons aussi l’actualité de pied ferme pour pouvoir la démasquer, la bousculer, l’analyser. Enfin, tout un programme encore beaucoup d’énergie !

Gardez l’antenne…

Françoise Sellier

No 01 – Sommaire / Edito

Sommaire

Ce n’est qu’un au revoir P.4

L’argent :lien social ou institutionnalisation de la
dépendance ?  P. 6

Dossier Décentralisation

  • Un feuilleton sur 4 ans, P.7
  • CGT Santé-Éducation spécialisée P.11
  • Point de vue de la CFDT, P.12
  • Les interrogations de L’ANRC, P.13
  • A qui profite la réforme ?  P.14

Point jeunes… Point d’interrogation P.17

Le Bénévolat au service de la fugue P.19

Travailleurs Sociaux en Formation «Cessation concertée d’activité» P.19

Edito

Les travailleurs sociaux s’interrogent souvent, mais leurs propositions sont rarement transcrites quelque part. Les réponses retenues sont généralement celles de spécialistes ne se situant pas directement dans la pratique quotidienne.
Quant au champ du travail social, malgré quelques expériences
et tentatives innovantes, il se trouve découpé en secteurs isolés les uns des autres, en concurrence, s’abandonnant à l’individualisme et au corporatisme.

Ces manières d’exercer nos professions, d’y réfléchir, de suivre nos formations ne nous conviennent pas. Nous voulons essayer, avec d’autres, de modifier cette situation par :
— l’appropriation de nos paroles et de nos réflexions, leur inscription dans une mémoire sans laquelle il, n’y a ni conscience ni force collective.
— l’existence d’un espace d’échange et de large confrontation ouvert à tous les secteurs du travail social, aux courants politiques, idéologiques et syndicaux.
la prise en main de la conception et de la réalisation de la revue par les travailleurs sociaux eux-mêmes et de façon décentralisée.
— une formule vivante dans le ton, la forme et le contenu,
Rechercher le débat et l’expression des travailleurs sociaux, formuler, questionner et analyser nos vécus et nos pratiques, s’engager sur les terrains professionnels, institutionnels et lieux de formation par nos critiques, propositions et initiatives, rendre compte et participer à ce qui s’élabore dans le champ des idées et des pratiques nouvelles, telles sont les orientations actuelles de la revue.

No 02 – Sommaire . Edito

Sommaire

A propos des formations 16-18 ans : «Un métier pour réussir, peut-être ?»  P.4

Pratique

  • Le travail communautaire au Pays-Bas P.7
  • La suppression du service social dans les foyers migrants : « Si on te paies Madame, est-ce que tu restes ? » P.8

Dossier

  • Ilots sensibles, de l’État providence aux quartiers-soilidarité P12
  • Jusqu’où peut aller l’action sociale ? P.15

Actualité

  • Coral : ce qu’aimer veut dire P.17

Documents

  • Bilan social : un check-up illusoire P.22

Courrier

  • Petites annonces P.23

Paroles au livres P.24

Edito

«PEPS ? La nouvelle revue ? Ah oui ! C’est pas mal… Mais il n’y a que des articles de fond.» (Comprenez : c’est un peu rasoir, pour parler poliment).
Tel pourrait être le bilan du premier numéro établi à partir des réactions de nos lecteurs. Constat difficile pour les initiateurs d’une revue dite d’humeur et d’humour.
En effet, l’humour a fait les frais de la conversion douloureuse d’une bande de joyeux illuminés en pigiste besogneux suant sang et eau sur la décentralisation.
Mais, chers lecteurs, ne désespérez pas : extrêmement sensibles à vos suggestions, nous allons redoubler d’efforts pour vous éviter l’indigestion.
Aussi, vous ne manquerez pas de remarquer dès ce deuxième numéro :

  • la moindre épaisseur du dossier. (On ne l’a pas fait véritablement exprès, mais ça tombe bien).
  • le passage à 24 pages.
  • un effort de maquette. (Ce n’est pas encore ça, mais ça vient).
  • l’ouverture de nouvelles rubriques.
  • l’apport plus important d’articles extérieurs au collectif Parisien.

(On attend les vôtres).

Par contre, ne cherchez pas :

  • les bandes dessinées (on court
    désespérément après les dessinateurs).
  • les articles rigolos (y’en a pas).
  • les fiches tricot (y’en aura jamais).

Afin de relever quelque peu le ni-veau moral et intellectuel de cet édito-rial, ïl est peut-être utile de rappeler l’essentiel des principes Pepsiens :

— le contenu des articles n’engage que leurs auteurs. Cet aspect tech-nique des choses nous a malencontreusement échappé dans le numéro I. (Voir l’interview de la CGT sur la décentralisation).

— l’objectif de PEPS est de devenir un moyen d’expression des travailleurs sociaux au sens large du terme. (Conseillères en économie sociale et familiale, éducateurs, ai-des médico-psy, puéricultrices, assistants sociaux,) et non pas le bulletin paroissial d’un cercle parisien.

Ainsi, nous souhaitons transformer PEPS, comme nous ne cessons de le répéter, en un espace de large confrontation, dans lequel toutes les formes de participation seront bienvenues : articles, diffusion, création de collectifs, il-lustrations, critiques, etc…