Agir sans garantie dans un monde d’inquiétude

Rendre compte du dérisoire

Nous nous interrogeons souvent su la nature fragile du travail que nous proposons en pédagogie sociale; où sont les salles bien équipées, les structure pimpantes, les locaux dédiés? Où sont surtout les guichets, les bulletins d’inscription qui rassurent le visiteur , l’utilisateur, le consommateur sur ce qu’il vient chercher?

Où est le paiement, l’adhésion, l’engagement du public qui nous rassurerait tellement sur la valeur de ce que nous faisons?

Nous, nous n’avons pas de public dans ce sens là: billetterie et réservation. Nous n’avons que le peuple.

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La réalité « perdue de vue ».

Une personne récemment nous demandait pourquoi nous avions mis là « sur nos tapis », tous ces enfants que nous rencontrons lors des ateliers de rue.

Pour lui , il était évident que cela ne pouvait découler que d’un plan, d’un montage, d’un trucage peut être. Il ne pouvait pas imaginer que nos photos d’atelier rendent compte d’autre chose que d’un artifice, d’une disposition, d’une mis en scène. Il lui paraissait impossible que tous ces enfants puissent nous apprendre quelque chose sur notre environnement.

Nous sommes tellement habitués à l’artifice , à la mise en scène ,que la réalité , quand nous la rencontrons,… nous ne la reconnaissons pas.

Le problème avec les mise en scène institutionnelles, éducatives, scolaires, est que , quand « elles se cassent la figure », (ou lorsque les institutions sont liquidées, fermées, vendues « à la découpe »), plus rien ne repousse à côté.

Les 4 renoncements

Comment saurions nous créer une quelconque activité qui ne serait pas déjà portée par la structure? Comment susciter, tisser , construire patiemment une autorité qui ne serait pas déjà garantie par l’Etat?

Nous avons perdu foi dans nos capacités, de créer, d’entrer en relation, de construire et de produire.  Nous avons été convaincus d’inutilité, d’inactivité, d’impossibilité de faire et d’agir.

1/ Il y a d’abord ceux qui sont persuadés qu’ils ne peuvent rien faire seul.  Il s’épuisent à attendre des feux verts improbables. Il posent la mobilisation des autres comme condition de la leur. Ils accumulent tellement d’objection apriori à leur mise en mouvement, que celle-ci est plus qu’improbable.

Ceux là ignorent que la véritable autorité vient de ceux qui tentent.

2/ Il y a ensuite ceux qui ne peuvent pas agir sans assurance de pérennité; on ne va rien tenter si on n’est pas sûrs de pouvoir poursuivre, de continuer . A quoi bon créer maintenant ce qui viendra à manquer plus tard? Pourquoi donner à vivre des moments d’exception à des personnes qui retomberont dans leur misère? Pourquoi faire vivre un moment de démocratie à ceux qui subiront de nouveau dès demain des institutions pénalisantes? A quoi bon faire exception , si personne ne change la règle?

Ceux là ignorent que les règles ne sont là que pour rendre compte du progrès des exceptions.

3/ Sur le même mode, plus spatial, il y a  ceux qui ne croient pas au « local ». Pour eux , une véritable action se pilote depuis le « global », le « général », sinon elle n’a pas d’envergure. la possibilité de créer ici et maintenant des situations différentes, des actions innovantes, ne leur apparaît que comme un enfermement, un enterrement de seconde classe.

Ceux là ignorent que l’influence vient du proche, pas du lointain

4/ Et bien entendu, les plus nombreux: il y a  tous ceux qui ne peuvent pas agir si les moyens et le conditions préalables et nécessaires à leur action ne sont pas réunies. Autant dire que cela ne risque pas d’arriver avant très longtemps.

Ceux là ignorent que les moyens viennent en faisant.

Tous, surtout,  manquent cruellement de foi dans leur propre pouvoir de faire et d’inventer, autant que dans celui des autres.

Ce qu’il y a  malgré tout de positif dans les périodes de destruction, de désinstitutionnalisation, de « haine du social » et d’abandon politique , économique et structurel, c’est que nous devons nous poser la question de notre propre foi; de notre capacité à entreprendre ; de nos propres forces ; du pouvoir de nous mêmes.

Illusion d’agir

Dans toute cette difficulté à agir, impossibilité à créer , nous assistons à des scènes dérisoires où des structures sur-dotées se mettent à rêver d’actions minimales et ridicules pour tenter de retrouver la vie qui leur fait défaut. Ici on tente de faire un potager dans de misérables petits bacs. Là on ajoute une ou deux activités sociales pour « trois pèlerins »,  dans l’espoir de donner une « teinte sociale » à tout ce qui entoure.

Ailleurs , on adopte un pseudo discours de radicalité ; on n’a à la bouche que des mots comme « résistance », « vigilance », « citoyenneté », pour camoufler les fonctionnements institutionnels les plus traditionnels et archaïques. Et quand viendra le moment où il faudrait se battre pour de vrai, juste pour survivre… il n’y aura personne.

Abdications

Je ne connais rien de plus triste que ceux qui renoncent au plus simple: à une rencontre, à un sourire, à leur propre pouvoir de créer.

Je ne connais rien de plus déprimant que  l’habitude d’abdiquer face à sa propre capacité d’initier. On imagine, on se laisse porter un instant; on se met à rêver de changement, d’initiative. On « pourrait presque » … Et déjà , avant même d’avoir essayé, d’avoir tenté quoi que ce soit, sous couvert d’un pseudo réalisme commode, on démissionne d’être un homme.

Enfant déjà, j’étais sidéré par l’immobilité des adultes. Je les voyais comme des géants immobiles, des créateurs stériles, des colosses impuissants.

Peut être que tout cela était moins grave à une époque où on pouvait croire au progrès social, institutionnel, éducatif. Peut être était-ce moins grave à une époque où il y avait de l’avenir.

Aujourd’hui, nous n’avons plus les moyens de l’impuissance; nous n’avons plus d’avenir pour remettre à demain; plus d’ailleurs pour bâtir des institutions idéales. Nous devons transformer nos terrains vagues en espaces vivants; nous devons habiter nos recoins, revisiter nos réduits, ré-estimer l’ici et le maintenant.

Plus loin que la confiance

Ce n’est pas de confiance en nous mêmes dont nous avons besoin, mais de foi pour agir. Nous ne nous mettrons pas en mouvement parce qu’on aura valorisé nos « compétences » , parce qu’on nous aura convaincu de notre importance , ou parce que nos nous sentirons « reconnus ».

Pour nous mettre en mouvement, pour créer , il faut autre chose; la capacité de donner , se donner, d’abandonner le besoin d’être rassurés sur l’issue de nos actes.  Il faut savoir se lancer, il faut de l’élan, de la vie.

Où sont ils dans nos institutions, dans nos structures?

A Intermèdes Robinson, nous avons appris des précaires, la capacité de reconstruire ce qui a été détruit, le pouvoir d’habiter un moment, un temps sans garantie du lendemain; le pouvoir de saisir l’occasion ou la rencontre qui se présente.

Dans un monde d’inquiétude, nous savons que la véritable sécurité provient de notre  possibilité de créer … sans garantie.

Cette semaine: Bienvenue à Dominik des Kesak Tchave

Dominik (dit Domino) est arrivé cette semaine pour travailler au projet « Curcubeo » (les Kesaj Robinsons) . Dominik est plongé dans la musique et la danse depuis qu’il est tout petit.

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Cette semaine , il est passé sur tous les terrains et au quartier. Nous l’avons présenté à tout le monde . La semaine prochaine: ça commence !

Samedi: 

Participation à la fête tzigane de Viry.   Nous avons envoyé nos deux Laura et Hélène pour aider la MJC de Viry à préparer leur fête tzigane.

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Les filles ont encadré la fabrication de plus de 250 Sarmalés … entre autres performances

Samedi et Jeudi : projet Curcubeo (arc en ciel, en Romanes) 

Jeudi

Ivan Akimov, est venu samedi pour lancer le projet de création d’un groupe de Robinsons danseurs et chanteurs.

Nous avons d’abord pris le temps de nous réunir avec nos amis musiciens , au local.

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Puis nous sommes allés présenter et envisager le projet sur site, à la fois au quartier et dans les bidonvilles de Chilly Gare et Champlan.

A chaque fois, discussions, rencontres avec les habitants , les enfants et adultes et c’est parti: démonstration de danse , par les uns et les autres.

A Chilly, nous avons été attirés par un magnifique arc en ciel. Le nom de notre groupe et projet est trouvé: Curcubeo.

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Samedi:   Autour d’Ivan , on a reformé un petit groupe Kesaj, avec Duchko, Jennika, Dominik et même Cassandra.

Après leur atelier à Chilly, le local s’est  transformé en lieu de fête et de musique … pour tous.

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Samedi 16-01-2016, A la Villa Saint Martin,

Aujourd’hui nous partons pour une nouvelle séance, un nouveau atelier éducatif, pédagogique avec les enfants qui, cette fois ci, ont été au rendez-vous et à l’heure pour nous aider à l’installation de nos activités et à la cuisine qui promet beaucoup cet après-midi.

Dés notre arrivée les enfants commencent à s’installer et ils tournent et participent aux activités mises en place par nos collègues.

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Une bonnes quinzaine d’enfants participent à la cuisine de Sebastien et Badr, puis d’autres jouent au Puisance 4 avec Nicolae » le meilleur commentateur » des parties de tous les temps, s’exclame Massa qui n’arrête pas de gagner face à Patricia.

Un autre groupe d’enfants a pu particper et faire des beaux dessins avec Ana et Sana qui nous ont fait des oeuvres d’arts plastique avec les enfants!

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Puis au goûter nous avons pu passser un moment calme et prendre le temps de racconter aussi une ou deux histoires d’horreur et enfin nous finissons avec un bon goûter bien frais et du chaud chocolat.DSCN0490

 

A bientôt!!!

Samedi 16-01-2016, à l’Hotel F1,

Bonjour !

Nous partons en direction de l’hôtel F1 afin de partager un moment avec les familles qui y vivent. Aujourd’hui nous avons différents ateliers: la petite enfance avec la dinette et de la pate a modeler, des coloriages du dessin ainsi que du cirque !

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Lorsque nous arrivons nous sommes attendus, les mamans s’installent autour de la gazinière et l’une d’elle prépare de bons beignets pour le gouter. Les autres parents discutent autour d’un thé pour se réchauffer.

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Les plus petits profitent de ce moment pour dessiner, colorier des personnages, faire de la pâte a modeler et des montagnes de kapla.

Pendant ce temps, les plus grands s’amusent et apprennent a faire tourner des assiettes sur une baguette, lancer les diabolos, jongler et surtout à marcher sur un pédalier. Ils se concentrent et cherchent leur équilibre et hop ils traversent tout le parking ! Bravo a eux !

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On partage de bons beignets ainsi qu’un chocolat chaud et l’on se dit « à la semaine prochaine ».

Samedi, Camp de Chilly Gare:

Au camp de Chilly Gare aujourd’hui, nous avons le plaisir d’accueillir, non seulement Dominik, membre des Kesaï Tchavé qui est en service civique chez nous, mais également Ivan, Genica, Cassandra, et Douchko pour une représentation exceptionnelle! Nous commençons par installer le matériel. Aidé par les habitant, nous branchons la sono, puis la petite troupe s’installe, rapidement entouré par la quasi totalité du camp. Ivan commence par introduire l’histoire des Kesaï, en langue tsigane, traduit par un jeune homme du camp en Roumain. Puis lui et Douchko se mettent à joué, et Genica se met a danser, le tout sous les yeux émerveillé des familles du camps.

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Dominik et Sebastian se joignent à la danse, et c’est alors que la troupe entonne « Gelem Gelem », un hymne au peuple tsigane, qui est repris en cœur par le public. Les Kesaï enchainent des rythmes endiablés, et de plus en plus de monde se prêtent au jeu de se joindre au cercle de danse, sous les acclamations du public.

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Lorsque les musiciens s’arrêtent, Dominik enchaine en faisant passer le CD de Shantel, un DJ allemand qui reprend des rythmes tsiganes, et Dominik avait à cœur de nous faire découvrir. Le cercle de danse s’agrandit alors que les habitants se joignent aux danseurs, et on enchaine avec des musiques roumaine que des jeunes du camp branchent sur la sono.

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Pendant ce temps nous distribuons le distribuons le gouter dans le publique. Le temps passe et viens l’heure de ranger le matériel. Certains sont un peu dessus mais un homme du camps nous montre sa cabane du doigt et nous explique qu’ils vont continuer la fête avec leur propre sono, tous nous remercient chaleureusement, nous nous disons au revoir et à la semaine prochaine.

Vendredi 15-01-2016, à Champlan,

Aujourd’hui avec une quinzaine d’enfants nous avons fait une prestation musicale hors du commun. Yohan à l’accordéon, Dominique a la guitare nous on joués des musiques entraînantes que nous avons logiquement honoré avec de sublime danse.

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Les enfants étaient heureux de suivre les pas chorégraphiés par Dominique et Sébastien, un moment magique immortalisé par les deux grandes photographes que sont Élise et Laura.

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Après l’effort nous avons tous trouvés le réconfort auprès d’un bon chocolat chaud et de délicieuses tartines de confiture.

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Vendredi 15-01-2016, à la Rocade,

Aujourd’hui, nous nous rendons à la rocade.

Mathilde a organisé un atelier construction d’instruments de musiques ! Dès notre arrivée, les enfants sont très enthousiastes à l’idée de produire leur propre instrument qu’ils pourront décorer à la séance suivante.

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Abdel, quant à lui, installe la slackline de façon à créer un parcours autre que la simple traversée habituelle. Les enfants aiment beaucoup travailler leur équilibre.

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Sana et Ana s’occupent de la cuisine (du popcorn) et discutent avec les parents.

Le goûter est assez mouvementé cette fois-ci, mais dans la bonne humeur !

Jeudi 14-01-2016, au Skate Park,

Une dizaine d’enfants étaient présents, Mathilde a mis du rythme grâce à son atelier musique, les enfants ont aprécié la découverte des instruments peut être que le futur mozart se cache parmis eux.

Audrey animait la petite enfance,puis a fait de magnifique construction avec les kaplas.

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Sana aiguisait l’imagination de nos petits génies avec un atelier pate-à-modeler. 20160114_164829

Badr et Louis livrait un grand match de football avec les enfants. Fatimata discutait avec les parents, puis la pluie a interrompu toutes ces activités, après un bon verre de jus de fruits pour se consoler nous sommes tousrés rentrés nous réchauffer.20160114_165400

Mercredi 13-01-2016, au jardin,

Une nouvelle séance de jardin avec les deux groupes d’enfants et adultes au jardin de Saulx, reprend en force et avec beaucoup plus d’énergie et d’envie.

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Nous commençons le travail de cet après-midi et nous allons tous ensemble travailler pour pouvoir étaler sur les parcelles le Brf qui restait et puis retourner aussi la dernière des parcelles avec Ricardo , Raoul et Najamie et Nicolae car les autres Éric, Franck, Jessica, Sebi et Madalin n’ont pas arrêté de charger des bruettes et puis étaler chacun a son tour le brf.

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La journée s’achevé plutôt bien et nous allons prendre tous le goûter et finir cette journée de travail bien contents !

A plus !

Mercredi 13-01-2016, à Wissous,

Lorsque nous arrivons sur le camp, le vent nous glace les doigts mais nous avons le sourire car nous savons que nous allons retrouver les enfants et partager un moment ensemble.

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Une partie des robinsons s’occupe d’installer le rétro projecteur car aujourd’hui c’est séance cinéma avec à l’affiche « Gadgio dilo ». Pendant ce temps là, avec Elise et Dominique ( qui est membre du groupe les « Kesaj Tchave » et fait un service civique avec nous!), nous faisons le tour des habitations pour proposer aux enfants qui ne nous ont pas encore rejoint de venir. Nous marchions entre les baraques avec quelques enfants et nous nous enfoncions dans la boue, on a beaucoup rit !

Nous retrouvons les autres et commençons par un atelier musique et danse ! Dominique et les enfants jouent sur une petite batterie et apprennent les danses tsiganes. Après cela, nous sommes prêts à regarder le film, ou presque.

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Un branchement ne fonctionne pas ! Pour pouvoir projeter le film, les parents se sont vite activés afin de trouver tout ce qu’ils nous fallait, on les remercie beaucoup. Nous commençons donc le film et très vite tout le monde est aspiré par l’histoire. Les enfants rient et nous expliquent les passages en roumains et nous nous laissons emporter par l’histoire. Nous grignotons des mikados et profitons de ce moment.

Les enfants sont très content d’avoir vu ou revu ce film.

On se dit «  au revoir et a la semaine prochaine » !

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Auteur/autrice : Hugues Bazin

Chercheur indépendant en sciences sociales,

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