Si tu me quittes, je pars avec toi

Aujourd’hui les relations sociales, éducatives, « n’attachent pas ». Les entrées en établissement, les admissions en mesure s’interrompent sans qu’on y prenne garde pour X raisons, et à tout bout de champ.

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Dans le secteur social, de la protection de l’enfance, dans l’éducation spécialisée, il n’y a jamais eu autant d’exclusions, mais aussi de « fins de mesure », de mains levées, d’abandons et surtout de disparition des publics.

Les ruptures s’annoncent, se règlementent, se prévoient; elles s’organisent . Pire, souvent, les prises en charge « s’interrompent toutes seules », sans qu’on y fasse grand chose ; comme si la machine devait toujours  s’arrêter par défaut. Comme si la mobilisation d’un soutien, d’un accompagnement, le social,  ne pouvait être qu’exception.

Les chômeurs inscrits à Pôle Emploi ne sont même plus surpris de recevoir à tout bout de champ des courriers leur annonçant leur « radiation ». A charge pour eux de se mobiliser pour affirmer le contraire, neutraliser cette rupture « naturelle ». A force, un jour et sur le nombre, la mesure produit ses effets: les plus désespérés abandonnent.

Il en est de même pour les personnes âgées qui doivent démontrer régulièrement à leurs caisses de retraites des « preuves de vie ». A défaut, elles seront considérées comme mortes et les pensions s’arrêtent. La vie est l’exception, la fin est la règle.

En effet c’est l’accueil, la relation éducative qui sont aujourd’hui des singularités quand la rupture devient la norme.

Il n’est pas étonnant que, dans un tel contexte, à la fois social et institutionnel, les relations humaines éducatives, mais aussi de travail, qui en découlent , en sont également affectées. Là aussi le mot d’ordre est de dire : Ca n’accroche pas, ça n’attache pas. C’est la « Pédagogie Tefal », l’art de la savonnette.

De nos jours, être acteur social c’est éviter tout ce qui frotte, tout ce qui accroche, et tous ceux qui voudraient poser leurs valises. On multiplie les conditions, les contrats avec clauses , et surtout les évaluations , les échéances, les dead-lines, et les buttées.

Dans tout cet art de l’évitement, comment s’étonner des violences de la part des publics ou des usagers? A force d’éviter et de leurrer le taureau avec un foulard rouge, on le met hors de lui. Gare au coup de cornes!

Etre usager d’une structure , bénéficiaire d’une mesure, titulaire d’un droit, c’est un peu comme un rodéo: on tente de s’accrocher à ce qui se défile, de bloquer ce qui s’annonce, et d’empêcher que tout se dérobe… autant qu’on peut.

Pour les professionnels c’est à peine mieux; l’institution qui organise la fluidité des publics ne  retient pas davantage ses acteurs. On ne se pose plus la question de l’évolution du salarier dans l’institution, mais celle de son départ. On favorise les ruptures, même coûteuses à l’amiable. Cela évitera le changement : il suffira de convaincre ou de contraindre ceux qui veulent changer quelque chose (ou évoluer) à aller voir ailleurs.

Nous voici donc avec des structures et des institutions qui ont pris l’arrêt, comme modèle de marche, la fin pour norme de vie. Il ne faut pas s’étonner qu’elles soient si souvent en panne et qu’elles n’envisagent plus leur avenir que sous la forme de leur propre disparition.

Vouloir réellement travailler le social, le relationnel, le lien éducatif revient à contrevenir à cette injonction à la fluidité et au départ. Cela revient créer à des attaches, des accroches, des résistances, des dépendances mêmes (oh, le vilain mot!).  Il va s’agir de travailler l’attachement, la durée, la sécurité, la permanence , la contenance. Or, où est ce qu’on forme les acteurs sociaux et éducatifs à cela aujourd’hui?

Pas dans les centres de formation, en tout cas, pas dans les ESPE et pas à l’université.

En Pédagogie sociale, à la suite de Tomckiewicz, nous pratiquons et développons une pédagogie « anti-Tefal »,  « qui attache », « qui accroche », qui rencontre et qui dure.

Ce n’est pas juste une question d’être à contre courant. Il s’agit d’une véritable professionnalité à réinventer.  Cet attachement, cette création de lien, dans un premier temps peut être dissymétrique et inconditionnelle. Nous avons à travailler auprès de personnes et de groupes qui n’y croient plus, qui ont perdu petit à petit leurs capacités d’attache , leur potentiel d’accroche. C’est le résultat de leur vécu personnel et institutionnel, mais c’est  aussi une histoire familiale qui se répète, un ratage qui se poursuit de génération en génération.

Recréer de l’accroche , de l’adhésion qui ne glisse pas, cela passe par le fait de bâtir des moments et des communautés  où cela devient possible, voire nécessaire.

A Robinson, et dans toutes nos expériences de Pédagogie Sociale, nous explorons et apprenons cette « attitude authentiquement affective », cette rugosité relationnelle, cette capacité à poursuivre les relations malgré la pente inexorable des ruptures. Il s’agit d’apprendre à poursuivre son travail au delà de la première difficulté et de comprendre que ce n’est pas là que le travail finit: c’est ici que tout commence.

Cette capacité à ne pas couper crée l’événement à partir duquel on peut bâtir.

« Si tu me quittes, je pars avec toi », devient alors le mot d’ordre d’une telle pédagogie, un programme en 3 points:

1/ Apprendre à « se quitter » , parfois soi-même, « se mettre entre parenthèses », « voir la vie depuis en face », « se mettre au service de… », telles sont les compétences essentielles de celui qui se place en pédagogue.

2/ « Partir », quitter le lieu, l’institution, la norme, l’habitude, le terrain connu, constitue un second enjeu . Travailler hors les murs, rejoindre l’autre sur son terrain, le suivre, nécessite une organisation, une formation professionnelle qui s’ajoutent à l’engagement.

3/ « Avec toi », suppose un étrangement, un déracinement volontaires; une proximité à explorer, un univers à découvrir.

« Faites attention : un nouveau type de tyran arrive… Voici le requin aux dents longues avec ses idées arrêtées : condescendance envers les plus faibles, démonstrations spectaculaires de respect envers les personnes âgées, ses discours sur l’égalité de droits entre homme et femme, sa gentillesse feinte pour les enfants — Tout ceci n’est que prétexte et hypocrisie. » disait Korczak.

 

Dimanche 17 Avril 2014

jardin de Saulx 

Superbe journée nous attends sous le ciel bleu de Longjumeau , et aussi nos amies nous attendent avec impatience de nous revoir et de pouvoir en profiter d’un après-midi ensoleillé autour de la convivialité et du vivre ensemble.

A l’ordre du jour nous avons le désherbage car les mauvaises herbes nous envahissaient les parcelles et ensuite la plantation des potirons en pleine terre.

Du coup nous ne tardons plus et nous commençons à tracer des rangées plus ou moins droites pour planter les potirons et à l’occasion nous désherbons aussi pour rendre plus visibles les feuilles de potirons qui commence à sortir de leurs coquilles.

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Avec Catalin nous avons fini de planter tout la parcelle des potirons avant l’arrivée de Laurent et Hélène pour nous donner un coup de main en plus car nous étions pas nombreux. Au moment du repas nous restons assis pour partager ce moment tous ensemble car ensuite nous avons la visite bienvenue de Yannick en renfort.

Bah tous ça étant dit , je pense que je vous ai tout raconté…hmmm….pourtant c’est très important et j’allais oublié de vous dire que nous avons quand même réussi a repiquer des salades, planter des radis et poivrons mais aussi des blettes pour prochaine récolte. La parcelle de pommes de terre, Laurence et les filles l’ont bel et bien désherbée et ensuite arrosée avec Héléne et Zohra qui n’arrête pas de chanter à ses fleurs qu’elle les aime tant.

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A très bientôt!

 

Samedi 16 mai 2015 : Jardin VSM 

Le petit vent frais et le ciel un peu gris de ce début d’après-midi n’a pas fait peur aux Robinsons ! Nous nous sommes tous rendus à la VSM pour le jardinage et nous avons vite commencé à mettre la main à la pâte! 😀

Nous avons installé une petite tente dans laquelle les enfants ont pu découvrir un atelier musical animé par Quentin. Ils ont fait de nombreux petits jeux avec les percussions pour apprendre à jouer ensemble, s’écouter, taper en rythme, bref, faire une jolie musique! Et je dois avouer que le résultat était vraiment pas mal du tout! 🙂 ça a bien motivé les troupes pour travailler! 😀

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Nicolae avec son compère Benjamin, eux, ont commencé à attaquer la parcelle ! Malgré une terre que l’on peut travailler peu facilement, ils ont réussi à retourner une bonne partie de la terre du terrain. Il faut dire que les enfants ont beaucoup aider ! Certains ont l’art du jardinage dans le sang! 😉

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Enfin, Cosmin, quant à lui, armé de son motoculteur, est passé après eux pour détruire les gros morceaux de terre, bien la retourner et ainsi la rendre plus cultivable! 🙂

L’atelier se finissant, un grand soleil est venu illuminer le ciel bleu, nous avons alors préparé le goûter! Nous avons donc dégusté d’excellents beignets cuisinés ce matin même par Laura, mais aussi de nombreux sirops ! Nos bambins étaient très content! 😀

Aujourd’hui, tout le monde à très bien travaillé, les tâches à accomplir, bien que très difficiles, n’ont découragé personne et le travail a bien avancé ! On peut voir de grandes aptitudes chez nos jeunes, et celles-ci ne cessent d’augmenter! Bientôt, nous aurons de grands musiciens et jardiniers c’est super! 😀

Et même si la parcelle n’est pas encore complètement terminée, ce sera bientôt le cas, de plus les enfants n’ont pas cessé de rigoler, s’amuser, et c’est le plus important! 😀

Samedi 16 mai

à Wissous 

Avec Laura nous avons été à Wissous exceptionnellement aujourd’hui afin d’accompagner le médecin et les membres de « la voix de l’enfant » pour réaliser les rappels des vaccins et de nouvelles vaccinations pour les enfants récemment installés sur le camp. Les enfants et parents étaient très contents de retrouver Laura, surtout que nous sommes arrivés sur le camp avec un grand plateau de Beignets maisons ! Rien de mieux, pour fêter les retrouvailles et pour un temps soit peu oublier la peur de la piqûre chez certains enfants ! Hélene et Laurent nous ont rejoints, eux aussi ont voulu partager ce moment avec les familles de Wissous. Car malgré l’appréhension et quelques pleurs d’enfants dus à cette fameuse piqûre, cette après midi fût très agréable. Opération réussie, tous les enfants ont eu leur rappel !

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Les familles nous ont chaleureusement accueillis et nous ont remerciés à plusieurs reprises pour cette venue du Médecin. Ce sont des petits moments comme ça, qui facilitent et améliorent le lien que nous entretenons hebdomadairement avec les enfants et leurs parents. À Bientôt Wissous !

Vendredi 15 mai

 

Au zoo de Vincennes

Pour cet après-midi on en met nos plus belles chemises et nos belles baskets car aujourd’hui nous allons faire visiter aux adultes le Parc Zoologique de Paris pour nous redonner la force et l’envie de retourner avec beaucoup d’envie dans notre propre jardin mais allons tout d’abord visiter et puis ….hmm…on verra!

Avec un peu de mal pour rassembler nos amis, nous réussissons enfin à faire un petit groupe pour pouvoir aller à Paris. Avec Franck et Eric dans les premières lignes suivis de Jessica, Cosmin et Nicolae, on prend d’assaut le camion et on se dirige vers Vincennes.

Dés notre arrivée nous sommes émerveillés par la taille de l’endroit et le nombre de visiteurs qui n’arrêtent pas de remplir les files d’attente à la billetterie.

Notre visite débute et les nombreuses espèces d’animaux et d’oiseaux nous émerveille car l’impact produit en les voyant est plus fort qu’à la télé. Nous sommes vite accaparés par la beauté du lieu et des animaux mais aussi par l’ambiance et la paix qui règne sur les lieux.

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Toutes les autres n’ont plus de mots, juste sur leurs visages on peut voir qu’ils sont vraiment attrapés dans le temps et les mots n’ont plus leur place et leur signification.

On suive avec attention le chemin et les flêches qui nous indique que la visite « continue par la » , et la bonne humeur fait ça place dans le groupe et tout en rigolant et en découvrant de nouvelles éspéces  nous arrivons a la fin de notre visite.

20150515_155201Avec beaucoup de mal à partir nous nous dirigions vers la sortie du parc car tout le monde a faim et nous allons maintenant manger ensemble et racontons tout ce que nous avons vécu ces dernières heures.

A bientôt!

La rocade 

En ce joli après-midi, nous nous sommes tous rendus à la Rocade pour proposer de nombreuses petites activités amusantes!

Laura a improvisé un atelier petite enfance, où nos petits bambins pouvaient s’amuser avec les dînettes, la piscine à boules… Ils ont bien rigolé, c’était super des les voir s’amuser! 🙂

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Flora quant à elle, a proposé un atelier jeux de société, avec des « ni oui, ni non » des « uno »… mais aussi de l’origami ! Nous avons alors pu découvrir de petites tortues et grenouilles en papier se multiplier partout! 😉

Quentin et Thibaut, pour leur part, nous ont concocté une activité théâtre. Nous avons donc pu voir une scène de tribunal, qui a ensuite laissé sa place à une scène de voisins se disputant à cause du bruit. Pour finir, nos jeunes nous ont proposé une saynète à propos d’un sommet mondial sur le racisme ! Quelle imagination ils ont, c’est fabuleux! 😀

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Thibaut a aussi proposé aux plus sportifs une balle aux prisonniers! Les enfants ont pu ainsi bien se dépenser et aussi beaucoup s’amuser! Ils ont joué comme des petits fous! 🙂

Tito, dans son fameux atelier « porteur de parole » nous a posé la question suivante: « pour toi, qu’est ce que le racisme? » Qu’en pensez-vous? 🙂

Pour finir Benjamin, armé de son ukulélé, a animé l’atelier musical, les enfants ont pu jouer de nombreuses percussions et apprendre les accords de base du ukulélé. Certains sont vraiment doués pour la musique! 😉

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Les activités finissant, nous avons tout rangé, puis dégusté de petits biscuits, arrosés de sirop et de thé hmmmmmm quel délice! 😀

Mercredi 13 mai

Mercredi soir: « Réunion d’équipe » avec les Kesaj

Normalement, le mercredi c’est notre réunion d’équipe, mais là, nous nous sommes dits que c’est avec les Kesaj qu’il fallait se réunir. Et hop, nous étions une vingtaine de Robinsons (permanents, stagiaires, membres du Bureau) au château.

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Notre réunion, ç’a été un curieux match de foot « barbus contre non  barbus », intro , essais et échanges musicaux (nos « Cajones » ont bien plu)

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Répétition/spectacle en costume juste pour nous et repas partagé avec « la Goulash » slovaque (des conducteurs du bus).

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Et au final: on fait les plans pour Juillet. Une résidence à partager à Buno, et un groupe de Robinsons qui partirait en tournée avec les Kesaj.

C’est dit , on fait équipe (:-)) les Robinsons et les Kesaj: On compte les jours jusqu’en Juillet.

Bel air à la rocade 

Pour l’arrivée des Kesaj Tchave sur nos ateliers de Bel-air, nous avons décidé de déplacer l’atelier à La Rocade afin d’avoir plus de place. Nous nous sommes installés, et les enfants du quartier, étonnés de nous voir, étaient contents qu’on soit là et ont joué au dobble, au croc’carotte, et il y a eu une initiation à la bataille corse. Le jeu a eu du succès mais pas autant que le puissance quatre géant !

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Puis les Kesaj sont arrrivés, une vingtaine d’enfants pleins d’énergie et Ivan, le leader. On a fait un grand foot. On n’a pas compté les buts mais il y a eu de belles actions. Les Kesaj ne sont pas experts qu’en musique.

Nous avions amené nos cajones « fait-maison », ça leur a tout-de-suite plu. Les enfants se les sont appropriés et ont joué très fort, très énergiquement. Théo avait amené sa guitare. Nous avions aussi notre clavier à piles, les piles ont été capricieuses, mais ça n’a pas été un souci. Nous avons échangé, improvisé. Puis ils nous ont fait un spectacle. Sans costume, sans réelle mise en scène, les enfants se mettent en place et c’est un réel spectacle de rue que l’on a eu.

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Beaucoup de familles se sont assises pour assister au spectacle dansant et comme d’habitude très dynamique. Nous avons alors décidé de distribuer le goûter aux spectateurs ainsi qu’aux musiciens. Les biscuits cuisinés mardi ont eu du succès aussi.

Mais c’est passé très vite. En ce qui n’a paru que quelques minutes, les Kesaj nous ont envoûtés puis sont repartis au château de Buno nous préparer à manger car nous sommes invités ce soir.

Mercredi 13 mai

à Wissous

Cet après-midi, nous avons eu la visite de Catherine du CASNAV (Cellule d’accueil scolaire des nouveaux arrivants) dans le but d’élaborer un partenariat entre notre association et des classes d’apprentissage du français pour les enfants et jeunes qui arrivent tout juste en France.

Au programme d’aujourd’hui : 2 jeux collectifs pour dépenser plein d’énergie et s’amuser ensemble (un jeu de prénoms et d’apprentissage de mots français avec une balle et une balle au prisonniers pour achever de se défouler !) et puis la suite de l’atelier d’écriture d’un journal.

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Le numéro 1 du journal « La petite fourmi », exclusivement écrit  par les enfants, ados et adultes du camp de Wissous, est achevé d’imprimer depuis hier …le résultat est très beau ! Les enfants ont eu l’occasion de feuilleter ce premier numéro et nous leur proposons que le deuxième soit co-écrit par eux et un groupe d’enfants et voire aussi adultes des quartiers de Longjumeau ou Massy avec lesquels nous travaillons aussi. Pour cela, il faut que chaque journaliste se présente alors nous avons aidé chaque enfant  (petits et grands) à réaliser leur portrait en dessin et en écriture (roumain et français bien sûr !). Tous se sont prêtés au jeu et ont réalisé de très beaux portraits…à nous de scanner tout cela et de travailler la mise en page ensuite pour en faire un aussi beau deuxième numéro de « La petite fourmi » que le premier ! Il faudra encore attendre quelques semaines  avant sa parution car il faut que les journalistes du quartier réalisent aussi leurs portraits puis que nous décidions de nouvelles thématiques à aborder dans ce nouveau numéro…le premier était consacré à la poésie et à la cuisine…nous verrons bien ce que nous réservent nos équipes de journalistes pour ce numéro !

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Après tout ce travail, nous avons pris le temps de faire ensemble un jeu de société qui fait jouer avec les chiffres ; les enfants ont été très participatifs et aussi très vifs !

Et enfin, rituel final, nous avons partagé un bon goûter avec des petits sablés cuisinés par les cuistots du mardi au local avec un bon melon bien juteux qui nous a fait saliver Iris !!!

2 réflexions sur « Si tu me quittes, je pars avec toi »

  1. Bonjour, je suis présidente de l4association Objectif monde, et nous aidons les enfants roms en France et Roumanie
    Si vous avez besoin de créer une antenne en collaboration Avec nous dans ma région, Le Mans, je suis volontaire;
    Merci et à bientôt

    Francine Aubry

    1. Bonjour Madame Merci beaucoup de ce message. Nous n’intervenons pas au Man, mais si vous aviez l’intention de créer près de chez vous des ateliers éducatifs et d’éveil pour ces enfants en bidonville ou espaces publics, nous serions heureux de vous soutenir ou conseiller Par ailleurs connaissez vous les Kesaj Tchave? Ils doivent passer à Angers les 30 ou 31 qui viennent et vous pourriez rencontrer sur place l’association YEPCE qui les soutient et qui a une antenne à Angers

      Très cordialement, LO

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