Créativité des territoires

Spiritualités, le monde des idées…

Vendredi 18 janvier – 14h30

Espace Mendès France
1 place de la Cathédrale, 86000 POITIERS
Accès libre et gratuit

Comme les hommes, les plantes sont mobiles… quand elles s’établissent quelque part, elles développent des relations avec leur nouveau milieu, elles le fertilisent et ajoutent à sa variété…

Dans les territoires, des courants d’opinions divers existent sous différentes formes (lieux intellectuels, groupes de pensées, écoles de formation, centre de diffusion, équipements culturels, intellectuels …), de telle sorte que de véritables confrontations intellectuelles peuvent permettre de développer l’esprit critique du citoyen et de favoriser son émancipation au bénéfice de la Créativité des Territoires. C’est précisément le but d’une telle table ronde que de donner une visibilité à ces formes de circulation des idées, en les invitant à confronter leurs points de vue.

Table ronde avec la participation de :

  • Christian Globensky, artiste, auteur, pédagogue et fondateur de la Keep Talking Agency
    (KTA), un laboratoire d’art et d’idées, docteur en Arts et Sciences de
    l’Art, enseigne la pratique et la théorie de l’art contemporain à l’ÉSAL Metz, “Redonner ce qui a été donné” ;
  • Christophe Marion, délégué général du Comité des travaux historiques et scientifiques et Agnès MacGillivray,
    responsable du mécénat (Fondation des travaux historiques et
    scientifiques, Académie sciences morales et politiques), interviendront
    sur « Les sociétés savantes, actrices historiques du développement des
    territoires » ;
  • Pascale Mottura, historienne de l’art-archéologue de formation, ingénieur culturel, fondatrice de Parallaxe conseil, se tourne actuellement vers la création littéraire ;
  • Aude Baranger, animatrice à la Maison du Protestantisme Poitevin, et un représentant de l’association, qui gère le Musée du Poitou Protestant et Le Centre Jean Rivierre à La Couarde (79), interviendront sur “La transmission des savoirs d’une thématique singulière” ;
  • Michel Marc, agrégé de l’université, enseignant en géographie et en aménagement du territoire à l’université d’Orléans, co-fondateurs de l’AUPF (Association des universités populaires de France),
    ancien président-fondateur de l’Université populaire du Berry à
    Bourges, membre du bureau national de l’AUPF, interviendra sur les
    universités populaires et développement des territoires ;
  • Hugues Bazinchercheur en sciences sociales,
    animateur du Laboratoire d’innovation Sociale par la recherche-Action,
    interviendra sur : “Tiers espaces et pratiques d’innovation sociale sur
    les territoires”.

Pour aller plus loin :
Enregistrement de la table-ronde

“Recherche-action et écriture réflexive : la pratique innovante des
espaces comme levier de transformation sociale (Cahiers de l’action
n°51, injep, 2018) : https://recherche-action.fr/labo-social/download/LISRA/Cahiers-action_51-52.pdf

Pour tous renseignements :
Jacky Denieul, conseiller Créativité et territoires
Espace Mendès France – Poitiers, CCSTI Nouvelle-Aquitaine – 1 pl. de la Cathédrale – CS80964 – 86038 Poitiers
http://creativite-et-territoires.org
https://www.facebook.com/creativiteterritoires/
https://twitter.com/EMFterritoireshttps://vimeo.com/channels/1327074
Tel : 05 49 11 96 81 – Port : 06 81 54 62 24 – jacky.denieul@emf.ccsti.eu

Forum débat sur les Espaces d’émancipation collective et de transformation sociale (St Denis)

Lundi 16 octobre de 9h à 13h
à l’auditorium de la Maison des Sciences de l’Homme Paris-Nord

20 av George Sand 93210 St-Denis la Plaine
RER B La Plaine – Stade de France – M° 12 Front populaire

Les acteurs-chercheurs en réseau avec le Laboratoire d’Innovation Sociale par la Recherche-Action sont heureux de vous inviter à un forum public pour partager leurs expériences. Ce forum sera organisé en partenariat avec la Maison des Sciences de l’Homme Paris-Nord et l’Institut National de la Jeunesse et l’Éducation Populaire.

Le but de cette rencontre est de permettre aux différents acteurs d’une recherche-action de documenter et de légitimer la posture d’’acteur-chercheur, de valider leur expérience, de dégager leurs propres référentiels en tant qu’outils d’expertise et d’évaluation répondants aux besoins sociétaux.

Le croisement de ces expériences et de ces réflexions alimentera un numéro de la revue « Cahiers de l’Action » de l’INJEP (à paraître au deuxième semestre 2018). Il visera également à ouvrir une réflexion future sur livre blanc des sciences participatives (Prendre au sérieux la société de la connaissance », Alliss, Sciences Sociétés) à la MSH Paris Nord.

 

9h Accueil

9h30 introduction sur la démarche en recherche-action à travers les espaces d’émancipation et de transformation

Quelles sont les conditions d’une autonomie de pensée et d’action? Quelles méthodes validation et valorisation adopter pour que les recherches-actions et les sciences dites « participatives » contribuent effectivement aux processus d’émancipation et de transformation ?
Avec Alain Bertho, MSH – Emmanuel Porte, INJEP – Hugues Bazin, LISRA

10h-13h forum

Les expériences relatées émergent en décalage par rapport aux structures instituées, dans des zones plus ou moins délaissées ou sans emprise, où les acteurs-chercheurs construisent leurs propres référentiels d’analyse et dispositifs d’action, à travers une pratique des espaces. Que nous disent ces expériences ? De quelles mutations, transitions, métamorphoses sont-elles le signe ? Légitimer ces espaces comme autant de laboratoires citoyens d’un processus d’émancipation collective et de transformation sociale est un enjeu que pose ce forum, qui se conçoit alors lui-même comme l’expérimentation d’un espace de partage en recherche-action.

Un autre rapport au travail qui nous travaille

Comment une pratique en « tiers espaces » permet d’interroger notre rapport au travail, les modèles entrepreneuriaux et économiques ?

  • Éducation populaire et action syndicale : S’apprendre, se reconnaître, se décaler (Anne MEYER)
  • Faire des trucs d’Atelier : beaucoup avec pas grand-chose (Anton)
  • Dénouer le travail. L’expérience du Cycle Travail comme autoformation collective (Nicolas Guerrier)
  • Les économies populaires au croisement des savoirs Les ateliers biffins : le programme de recherche-action « Rues Marchandes » (Jeanne Guien, Maëlle Cappello)
  • Passer de l’environnement au milieu, la question de la transformation du rapport à l’espace en Pédagogie sociale (Laurent Ott).

Un autre rapport au territoire qui transforme

Comment le territoire peut-il se transformer en termes d’aménagement et d’écodéveloppement à partir de ses propres ressources d’une pratique au rez-de-chaussée des villes et des campagnes ?

  • De l’imaginaire au réel, lien entre tiers-espace, collectifs et territoire (Christine Balaï)
  • Habiter autrement : des squats comme leçon d’architecture (Arthur Bel)
  • Lieux numériques : entre pratiques populaires et réappropriation locale des technologies, (julien Bellanger)
  • Du bidonville au lieu de vie. La requalification de l’espace à travers les arts politiques et l’éducation populaire (Victoria Zorraquin).
  • Un centre socioculturel embarqué sur une péniche, singularités de l’espace fluvial (Éric Sapin)

Un autre rapport à l’espace qui émancipe

En quoi la pratique de ces espaces sans lieu et sans projet, basés sur l’accueil inconditionnel et la prise en compte de l’environnement, fabrique une culture commune et un cadre autonome de pensée et d’action ?

  • Debout Education Populaire : la fabrique sur la place publique d’un tiers espace dédié au partage des savoirs, au développement de l’esprit critique et la culture du commun – (Camille Arnodin)
  • La chimère citoyenne, Espace ouvert à tous, qui ne propose rien et où tout est possible (Élisabeth Sénégas, Marie Françoise Gondol)
  • Des Tiers-Espaces d’émancipation par l’action (Christophe Giroguy et le collectif des UtopienNEs )
  • « La nuit nous appartient », médiation nomade dans les quartiers populaires (Lakdar Kherfi)
  • Système Bulle. Architecture gonflable et pratiques urbaines expérimentales et engagées. (Simon Cobigo)

 

14h30-18h Atelier de recherche-action

Le forum sera suivi l’après-midi d’un atelier interne au réseau recherche-action qui portera sur les perspectives de cette mise en dialogue d’expériences en termes méthodologiques et stratégiques. Si vous êtes vous-même inscrit dans une démarche recherche-action, il est possible d’y participer sur demande motivée dans la limite des places disponibles, inscription sur le site

télécharger l‘invitation au format PDF.

Recherche-action en laboratoire social

Qu’est-ce que la Recherche-action ?

La recherche-action est une démarche qui peut s’inscrire ou non dans un cadre professionnel, mais est toujours une recherche impliquée qui nécessite un engagement de l’individu dans son entièreté et pas seulement dans sa « surcouche » technicienne. C’est en cela aussi une démarche existentielle.

La recherche-action n’est pas une recherche « déductive » qui va poser une hypothèse à partir d’une problématique pour aller la vérifier sur un « terrain ». C’est une recherche « inductive » qui construit une réponse à partir d’une expérience vécue en situation. Les personnes ne sont pas « objet » mais « sujet » de la recherche. On ne peut pas faire « de » la recherche-action sans être « en » recherche-action.

C’est ici que l’acteur rejoint le chercheur et réciproquement : l’expérience devient une recherche pour l’acteur et la recherche une expérience pour le chercheur. L’acteur comme le chercheur se retrouve sur cette position spécifique de l’acteur-chercheur qui n’est ni un statut ni une profession, mais une démarche où l’on tire une connaissance de son expérience pour ensuite réintroduire ces acquis dans l’expérience.

En mesurant ce qui se produit, on comprend l’intérêt du processus. Cet aller-retour dans un cheminement en spirale entre mode d’implication et mode d’analyse est appelé « réflexivité ». C’est une « science de la pratique ».

Qu’est-ce que n’est pas la recherche-action ?

Ce n’est pas de l’ingénierie de projets ou de la recherche fondamentale. La recherche-action ne peut non plus se résumer à une méthodologie au service de la recherche ou de l’action bien qu’elle se fasse souvent instrumentaliser dans ce sens. C’est une forme autonome et hybride entre l’action et la recherche créant ses propres référentiels d’opérationnalité et de scientificité, d’engagement et de production de connaissance.

C’est en cela que la recherche-action dépasse les champs disciplinaires universitaires et sectoriels professionnels pour être trans-disciplinaire et trans-sectorielle tout en allant puiser les éléments qui l’intéressent là où ils se trouvent aussi bien dans le champ académique que pragmatique.

Cependant demeurent des ambiguïtés. Différentes approches se présentent comme recherche-action, à la faveur des injonctions de « participation » et d’« expérimentation » des politiques publiques sans remplir véritablement les critères posés dans la précédente question. Que veut dire « participation » à un dispositif sans pouvoir d’orientation du processus qui l’anime ou « expérimentation » sans capacité de créer ses propres référentiels ?

Pour notre association Laboratoire d’Innovation Sociale par la Recherche-Action, sortir de l’ambiguïté, c’est poser la recherche-action comme « science radicale, intégrale, situationnelle ». Maintenant, c’est à chaque acteur-chercheur de construire son cheminement.

À quoi sert-elle ?

Elle permet de lier un mouvement d’émancipation et de transformation sociale avec une production de connaissance. En introduisant un récit au cœur de ces mouvements individuels ou collectifs, elle contribue à concevoir des outils et des cadres susceptibles de penser la réalité contemporaine et donc agir sur elle. En posant des mots sur leurs conditions et situations, les personnes se réapproprient un sens historique en tant qu’acteurs et auteurs de leur propre vie, voire une conscience en tant que minorité active.

Marche en mémoire d’Adama Traoré le 23 juillet 2017

La recherche-action est particulièrement adaptée dans les situations humaines par définition complexes nécessitant de mobiliser une intelligence sociale. Elle contribue ainsi à l’élaboration, la légitimation et la validation d’une contre-expertise ou de labos citoyens : expérimentation et modélisation, expertise territoriale et mobilisations locales, analyse institutionnelle, mis en place de collectifs et laboratoires sociaux, structuration de réseau, plate-forme et écriture collaborative, cycle de formation-action, valorisation des parcours d’expérience, évaluation de projet et analyse prospective, conception de modèles de gouvernance et du partage du commun…

Combien de temps ça dure ?

Une recherche-action peut s’instaurer dans un cadre informel ou institué, s’auto-saisir ou être commandée, sa durée est donc très variable, mais une recherche-action peut difficilement s’inscrire dans une courte durée puisqu’elle s’appuie sur l’expérience humaine par nature incompressible. Il y a donc une tension entre logique de productivité qui impose un résultat à court thème selon le modèle entrepreneurial ambiant et logique expérientielle s’inscrivant dans un temps long car elle ne se résume pas à mobiliser des compétences.

Sur un plan existentiel, la recherche-action n’est donc pas un projet limité dans la durée. Elle peut se comprendre comme une formation-action tout le long de la vie avec des séquences temporelles plus ou moins engagées. C’est ce rapport à l’espace et au temps qui crée des situations particulières d’implication de l’acteur-chercheur que nous appelons « tiers espace » ou « espace intermédiaire de l’existence ».

Sur un plan professionnel et institutionnel, elle dépend essentiellement de la manière dont est négociée la commande initiale. S’agit-il des acteurs qui se mobilisent pour répondre à un besoin ou d’une institution qui cherche à répondre à une question ? Dans les logiques interpartenariales se confrontent aussi le temps électoral et le temps du projet.

Avec quels moyens ?

Les moyens renvoient à la question de l’autonomie de la recherche-action. Il est effectivement difficile sans autonomie de favoriser une intelligence collective, contribuer à une créativité populaire, établir de nouveaux référentiels, provoquer des contres espaces d’expertise.

Cela dépend évidemment du type de recherche-action et son rapport au temps décrit dans la précédente question. Soit les acteurs comme les chercheurs puisent leurs propres ressources et celle de l’environnement pour répondre à ces conditions d’autonomie, soit ils dépendent de dispositifs extérieurs de type « appel à projets » qui sont rarement conçus pour accueillir une démarche en recherche-action.

La réalité se situe comme toujours en tension entre ces deux pôles autonomie et instrumentalisation, subversion et subventions. Le meilleur équilibre est trouvé quand la recherche-action s’articule avec une recherche collaborative impliquant des partenaires institutionnels soucieux de préserver cette autonomie et intégrant la démarche dans leur propre structure.

Des exemples ?

Écriture collaborative et formation action

La plate-forme ressources « www.recherche-action.fr » est devenue depuis 2002 un élément de référence en ce domaine et participe à la valorisation d’espaces d’innovation validés par la connaissance issue de l’expérimentation sociale (voir actes du LISRA).

La rencontre avec une génération de jeunes acteurs sociaux et culturels contribua à l’ouvrage « Espaces populaires de création culturelle : enjeux d’une recherche-action situationnelle » (INJEP, 2006). Cette mise en visibilité d’un réseau d’acteurs-chercheurs interrogeant le rôle des sciences sociales provoqua en 2009 la création du « Laboratoire d’Innovation Sociale par la Recherche-Action ».

Un nouveau numéro des « Cahiers de l’action » de l’INJEP est en cours de préparation sur les « processus d’émancipation et de transformation » et donnera lieu à un forum le 16 octobre 2017 à la Maison des Sciences de l’Homme Paris-Nord.

Constitution de labos sociaux in situ et de pôles d’intelligence collective

Un exemple récent, le collectif « Rues Marchandes » est né fin 2014 de la nécessité de provoquer une intelligence collective autour de la question des récupérateurs-vendeurs appelés aussi « biffins » convoquant autour d’eux militants, citoyens, chercheurs, créateurs, formateurs, travailleurs sociaux, entrepreneurs et innovateurs de l’économie sociale, etc.

Cortège des biffins à fête du travail du 1er mai 2017

À travers ces ateliers Les Rues Marchandes se conçoivent comme un dispositif méthodologique et opérationnel inventant de nouvelles formes de collaboration avec tous les partenaires concernés en les invitant à partir d’un processus du bas vers le haut, de la maîtrise d’usage à la maîtrise d’ouvrage.

Cette démarche de recherche-action reflète en creux l’absence de connaissances et de reconnaissance pour cette activité et la nécessité de concevoir une autre économie au « rez-de-chaussée » des villes.

L’autre chantier de ce collectif est donc de créer un pôle de ressources dont les sites https://recherche-action.fr/ruesmarchandes et https://recherche-action.fr/ateliersbiffins. Ces ressources partagées permettent de mettre à disposition des outils pour susciter des réflexions et des rencontres autour des problématiques soulevées par les biffins en matière de culture, d’espace public, d’économie populaire, de statut du travail, etc.

Les Rues Marchandes décrivent ainsi la possibilité de provoquer, négocier et accompagner des expérimentations dans l’espace public susceptibles de prendre en compte l’ensemble du travail des récupérateurs vendeurs et du cycle économique de l’objet : récupération, tri, stockage, valorisation, vente…

Recherche-action en Labo social
Recherche-action en Labo social

Rechercheaction_Labosocial.pdf
Version: 2017

554.2 KiB
14 Downloads
Détails

Réunion d’ouverture programme recherche-action « La biffe comme écodéveloppement en milieu urbain »

Invitation à la mise en place du programme de recherche-action

« La biffe comme écodéveloppement en milieu urbain »

Le 7 avril 2016 de 14h à 17h – salle 414

MSH Paris Nord – 20 avenue George Sand – 93210 La Plaine Saint-Denis – M° 12 Front populaire

Ce séminaire atelier ouvre le programme de recherche-action en partenariat avec la Maison des 2016-635936624963200459-320Sciences de l’Homme Paris-Nord. Il a pour but principal de confirmer les modalités de structuration et de développement sur 2016-2017. Si l’atelier est ouvert à tous acteurs – chercheurs motivés par la démarche et les problématiques[1], il nous faudra trouver la forme collaborative la plus adéquate pour la constitution d’un collectif où chacun puisse trouver une place et un mode d’implication.

Nous essaierons notamment d’articuler trois points d’organisation du programme en précisant une définition, une organisation, une production :

  • La gouvernance : mise en place à différentes échelles d’une démarche sur un territoire : recherche collaborative, problématique de travail, implication de tous les acteurs concernés de manière égalitaire selon une maîtrise d’usage
  • La formation-action : condition d’une intelligence collective et validation de compétences collectives (dans l’articulation avec des enquêtes de terrain et des ateliers transdisciplinaires)
  • L’expérimentation : accompagnement, production de connaissance et modélisation d’un espace marchand sur le territoire francilien

Nous nous projetterons donc sur deux ans pour envisager comment peut s’articuler ce processus. Le but est de partir de la réunion avec un outil opératoire et une répartition des tâches.

 

[1] Il est fortement conseillé avant de venir à la rencontre de se documenter sur la démarche à l’origine de la mise en place de ce programme, le collectif Rues Marchandes (https://recherche-action.fr/ruesmarchandes/) et la démarche de recherche-action portée par le Laboratoire Social (www.recherche-action.fr).